Jour : 10 mars 2015

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Visite de la 44ème promotion des élèves agents de police au Conseil National

Visite de la 44ème promotion des élèves agents de police au Conseil National

Monsieur Christophe STEINER, Vice-Président du Conseil National et Monsieur Philippe MOULY, Secrétaire Général du Conseil National, ont reçu le lundi 9 mars, la 44ème promotion des élèves agents de police de la Sureté Publique de Monaco, au Conseil National.

Intégrés au mois de septembre 2013 pour une formation de deux ans, ces neufs agents étaient accompagnés de Monsieur le Commissaire Régis BASTIDE, Chef de Division de l’administration et de  la formation, le Major Éric GIOANNI, responsable de l’école de police, le Brigadier-chef Laurent PONS, adjoint au responsable de l’école de police, l’Agent de Police Olivier OUMAILIA, formateur à l’école de Police et le Capitaine Frédéric ROMERSI.

A cette occasion, Monsieur Christophe STEINER a effectué une présentation globale des prérogatives de la Haute Assemblée au sein du système institutionnel monégasque.

Il a assuré aux élèves Agents de Police que le Conseil National apportait un soutien constant à l’action de la Police monégasque, notamment par le vote des budgets nécessaires à son fonctionnement et l’attention constante qu’il porte à leur action.

Et a également rappelé le rôle déterminant de la Sûreté Publique notamment pour le maintien de la qualité de vie des résidents et le renforcement de l’attractivité de la Principauté.

Cette rencontre s’est poursuivie dans le bureau du Président du Conseil National, l’occasion pour Monsieur Laurent NOUVION de saluer les agents individuellement et de leur souhaiter une carrière fructueuse.

 

Photos annexes :

Palais de la Plage : Réaction de Daniel Boeri, Président de la Commission Culture et Patrimoine au Conseil National

Palais de la Plage : Réaction de Daniel Boeri, Président de la Commission Culture et Patrimoine au Conseil National

La destruction du Palais de la Plage provoque un émoi légitime auprès des riverains, des défenseurs du patrimoine et plus largement de la population.

Un bâtiment, le premier du Larvotto, référence des années 30 à Monaco, est détruit.

Qui plus est, cette opération brutale et en pleine nuit ne peut qu’étonner par rapport aux usages en vigueur.

Cela est d’autant plus vrai qu’aucune information relative au projet de substitution n’a été donnée à la population. Seul un cénacle restreint semble en avoir eu connaissance. Au XXIe siècle, ce silence assourdissant fait craindre le pire pour le Larvotto et notre pays. Il est à craindre que derrière cette situation étonnante ne se cache qu’une banale opération immobilière loin de valoriser le patrimoine futur du pays, quand bien même serait-elle privée.

On s’étonne qu’un opérateur privé puisse procéder à une destruction sans qu’un projet de reconstruction ne soit présenté aux autorités.