La destruction du Palais de la Plage provoque un émoi légitime auprès des riverains, des défenseurs du patrimoine et plus largement de la population.

Un bâtiment, le premier du Larvotto, référence des années 30 à Monaco, est détruit.

Qui plus est, cette opération brutale et en pleine nuit ne peut qu’étonner par rapport aux usages en vigueur.

Cela est d’autant plus vrai qu’aucune information relative au projet de substitution n’a été donnée à la population. Seul un cénacle restreint semble en avoir eu connaissance. Au XXIe siècle, ce silence assourdissant fait craindre le pire pour le Larvotto et notre pays. Il est à craindre que derrière cette situation étonnante ne se cache qu’une banale opération immobilière loin de valoriser le patrimoine futur du pays, quand bien même serait-elle privée.

On s’étonne qu’un opérateur privé puisse procéder à une destruction sans qu’un projet de reconstruction ne soit présenté aux autorités.

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