Année : 2020

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Les Conseillers nationaux à l’APCE

Les Conseillers nationaux à l’APCE

Brigitte BOCCONE-PAGES, Vice-Présidente du Conseil National et Cheffe de la délégation, Béatrice FRESKO-ROLFO et Daniel BOERI, Conseillers Nationaux, ont participé, en leur qualité de membres de la délégation monégasque, du 27 au 31 janvier 2020, à la première partie de la Session annuelle de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE).

Lors de cette session, les membres de l’APCE ont élu Rik DAEMS (Belgique, ADLE[1]) au poste de Président de l’APCE.

Dans ce cadre, Brigitte BOCCONE-PAGES est intervenue afin de féliciter Rik DAEMS en soulignant « la volonté du Conseil National de Monaco, de poursuivre ces échanges de manière constructive, afin de bâtir ensemble l’avenir, par le développement de notre sentiment d’appartenance à un socle commun, fondé sur nos valeurs démocratiques communes et les savoir-faire de chacun des Etats-Membres ».

Le débat sur une « Procédure complémentaire conjointe entre le Comité des Ministres et l’Assemblée en cas de violation grave par un État membre de ses obligations statutaires » était l’un des points forts de cette Session.

Le 29 janvier 2020, Marija PEJCINOVIC BURIC, Secrétaire Générale du Conseil de l’Europe, s’est adressée à l’Assemblée. Elle a ainsi déclaré qu’« alors que nos sociétés changent et que de nouveaux défis se posent, nous devons être là pour défendre les principes auxquels nous croyons et qui sont inscrits dans la loi ».

Parmi les points à l’ordre du jour de la Session, figurait également un débat ayant pour thème « La démocratie piratée ? Comment réagir ? ».

A cette occasion, Béatrice FRESKO-ROLFO a pris la parole au nom de son Groupe politique[2] en soulignant les dangers liés à une utilisation malveillante d’internet au moment des élections, à savoir « la désinformation, le vol de données, l’intensification des propos haineux sur le net, le façonnage de l’opinion, diminuant peu à peu l’intérêt de l’électorat pour une confrontation des idées politiques », tout en rappelant que « contrer ce moyen de communication qu’est Internet, ne devait pas se faire au détriment de la liberté d’expression, si chère aux principes défendus par l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe. »

En marge de la session plénière, Béatrice FRESKO-ROLFO (en tant que Rapporteure générale et coordinatrice du Réseau parlementaire pour le droit des femmes de vivre sans violence) s’est exprimée à travers une intervention vidéo sur l’engagement du Réseau à faire preuve de détermination et de leadership politique pour lutter contre toutes les formes de violences faites aux femmes, incluant les violences physiques, psychologiques ou sexuelles. 

Un débat conjoint s’est également déroulé sur les thèmes « Action concertée contre la traite des êtres humains et le trafic illicite de migrants » et « Disparitions d’enfants réfugiés ou migrants en Europe ».

En outre, l’Assemblée a débattu sur le fonctionnement des institutions démocratiques en Pologne, et sur des cas signalés de prisonniers politiques en Azerbaïdjan.

Les membres de la délégation ont également assisté aux travaux des différentes Commissions.

A cette occasion, José BADIA a été élu, au nom de son Groupe politique[3], au poste de Vice-Président de la Commission du Règlement, des immunités et des affaires politiques.

Béatrice FRESKO-ROLFO a, quant à elle, été élue Vice-Présidente de la Sous-commission sur l’égalité de genre.

Enfin, en marge de la Session, la délégation a été reçue par Michel BALY, Consul Honoraire de Monaco à Strasbourg.

La délégation s’est également entretenue avec S.E. M. Rémi MORTIER, Ambassadeur, Représentant permanent de la Principauté de Monaco auprès du Conseil de l’Europe, afin d’évoquer les différents travaux en cours au sein de l’Assemblée.


[1] Groupe de l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe

[2] Béatrice FRESKO-ROLFO est membre du Groupe de l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ADLE)

[3] José BADIA est membre du Groupe du Parti populaire européen (PPE)

#RefugeAnimalier : les débats au Conseil du #BP2020 🐶🐱

#RefugeAnimalier : les débats au Conseil du #BP2020 🐶🐱

À la demande du Conseil National de Monaco, le Ministre d’Etat a déclaré qu’un permis de construire serait déposé d’ici juillet 2020, à Peille, afin d’ouvrir un nouveau refuge de qualité pour les animaux abandonnés. Extraits des débats budgétaires du 12 décembre 2019 🎥🇮🇩

Face à la dégradation continue de l’actuel abri pour animaux abandonnés situé à Eze et suite à de nombreux débats avec les élus de l’Assemblée, le Gouvernement Monaco s’est engagé, auprès du Conseil National de Monaco lors du #BP2020, à trouver une solution concrète pour construire un nouveau refuge à Peille vraisemblablement ou à Blausasc.

Stéphane Valeri : « Ce dossier nous tient particulièrement à coeur. L’abri actuel, situé à Eze, n’est plus digne de la qualité de l’accueil que nous souhaitons pour les animaux et ne peut être rénové règlementairement, de part de sa localisation, car il est situé trop près des zones d’habitation. Nous avons aujourd’hui une obligation de résultats. Pour se donner toutes les chances de réussir, il est donc indispensable de poursuivre, malgré tout, les négociations avec Monsieur le Maire de Blausasc si nous n’arrivons pas à conclure sur Peille… qui reste néanmoins la piste la plus probable. »

#ConseildelEurope

#ConseildelEurope

La délégation monégasque du Conseil National de Monaco fait la promotion des spécificités et singularités de #Monaco à l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (#APCE) à #Strasbourg.
Explications en vidéo avec José Badia, Président de la délégation 🎥

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Alors qu’une délégation monégasque* participe actuellement, et jusqu’au 31 janvier, à la session d’hiver de l’APCE (Parliamentary Assembly of the Council of Europe), le Président de la Commission des Relations Extérieures, José Badia, décrit l’état d’esprit qui anime sa délégation dans le cadre des travaux parlementaires :

« Nous conduisons nos travaux avec un esprit d’ouverture et de coopération. Après avoir adhéré au Conseil de l’Europe depuis 15 ans, la Principauté a signé plus de 53 conventions internationales engageantes garantissant le respect des libertés et de la démocratie. Pour autant et compte-tenu des caractéristiques très particulières que présente la Principauté, Monaco ne peut répondre à l’ensemble des critères et des normes souhaités au Conseil de l’Europe (Council of Europe). Il est alors du rôle de notre délégation de faire preuve de pédagogie en expliquant à nos collègues parlementaires les spécificités et singularités du modèle monégasque, qui sont les garantes de la réussite de notre Pays. »


*La délégation du Conseil National auprès de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe est composée de : José Badia, Président de la Commission des Relations Extérieures, Béatrice Fresko-Rolfo, Conseiller National, Brigitte Boccone-Pagès, vice-présidente du Conseil National, et Daniel Boeri, Président de la Commission Culture et Patrimoine.

#DonDuSangMonaco : un acte simple qui sauve des vies ❣️

#DonDuSangMonaco : un acte simple qui sauve des vies ❣️

▶️ Vous aussi, faites un don : https://www.chpg.mc/don-du-sang/

📸 Retour en images sur la journée « Don du sang » organisée au Conseil National de Monaco par le Centre de Transfusion Sanguine (CTS) du Centre Hospitalier Princesse Grace – CHPG et l’Amicale des Donneurs de Sang de Monaco.

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Les membres du Conseil d’Administration de l’Amicale et le personnel médical et paramédical du CTS avaient rendez-vous au Conseil National, ce jeudi 6 février, pour une collecte ouverte à tous, organisée sous l’impulsion du Président Stéphane Valeri et des élus de l’Assemblée. De nombreux permanents, élus, habitants et actifs sont venus, le temps d’un prélèvement, faire acte de solidarité pour venir en aide aux 800 malades transfusés, chaque année, en Principauté.

Bien que ce geste de solidarité soit simple, il reste encore trop rare pour répondre à l’ensemble des besoins. La contribution de « nouveaux donneurs » est alors essentielle pour atteindre la barre des 3500 dons nécessaires par an pour le traitement de nombreuses pathologies comme : les hémorragies importantes, les leucémies, les maladies infectieuses ou encore les cancers.

Gratuité de la domiciliation d’activité dans les domaines

Gratuité de la domiciliation d’activité dans les domaines

#Economie

Gratuité de la domiciliation d’activité dans les domaines : le Conseil National de Monaco votera la loi au printemps prochain.

Attendue par de nombreux compatriotes, la Proposition de Loi n°238 de l’Assemblée (lien cliquable ici), adoptée à l’unanimité des élus en juin 2018, a pour objet de permettre aux entrepreneurs Monégasques de se développer, en surmontant l’obstacle de la rareté et du coût des locaux.

Pierre Bardy, Rapporteur de cette Proposition de Loi, estime qu’il est nécessaire de suspendre le sur-loyer, demandé actuellement, afin de faciliter à la fois l’installation et le développement des activités des entrepreneurs nationaux : « la taxe qui est actuellement appliquée aux entrepreneurs monégasques est à la fois une ressource dérisoire pour les caisses de l’État et un frein inutile à la création et au développement de leur activité. »

Concernant les autres entrepreneurs monégasques, dont l’activité nécessite l’usage d’un bureau, le Conseil National se réjouit, comme il le demandait, de l’ouverture prochaine, à l’automne, du « Monaco Boost », un Business Center Domanial de 1200m2 à Fontvieille, à tarifs préférentiels, qui leur sera réservé.

Les règles de la comptabilité publique

Les règles de la comptabilité publique

La séparation de l’ordonnateur et du comptable public est un principe fondamental de la comptabilité publique. C’est ainsi qu’en matière de dépenses, l’ordonnateur est chargé de l’engagement, de la liquidation et du mandatement des dépenses, et le comptable de leur prise en charge et de leur paiement.

Cette séparation apparaît comme une règle de sécurité dans la gestion des fonds publics grâce à l’obligation qui est instaurée de mettre en œuvre deux acteurs forcément distincts pour accomplir toute opération de recette et surtout de dépense.

L’exécution du budget résulte de la combinaison obligatoire d’une action de décision et d’une opération de contrôle. La liberté d’appréciation et de choix qu’il est indispensable d’attribuer à un ordonnateur ne peut exister que parce qu’elle s’exerce dans le cadre d’un contrôle de régularité qui incombe au comptable.

Le procédé de liquidation de la dépense est quant à lui effectué par un tiers, le Trésorier Général des Finances qui est le seul à opérer le transfert d’argent.

La présentation du budget de l’Etat

La présentation du budget de l’Etat

Les recettes du budget de l’Etat se décomposent en 3 chapitres :

– Les produits et revenus du Domaine de l’Etat ;
– Les produits et recettes des services administratifs ;
– Les contributions.

Le premier chapitre des recettes représente celles issues des biens appartenant à l’Etat. Ces recettes regroupent les redevances d’occupation des biens immobiliers, la gestion des parkings publics, les monopoles exploités par l’Etat et les redevances des monopoles concédés. Les produits du Domaine financier viennent compléter cette catégorie et représentent les intérêts de la gestion financière de la trésorerie et les dividendes de sociétés d’Etat.

Le deuxième chapitre des recettes regroupe l’ensemble des recettes issues des services administratifs.

Le troisième chapitre et le plus important en termes de montant, constitue les recettes fiscales composées des droits de douane, des transactions juridiques et commerciales, des bénéfices commerciaux et des droits de consommation.

Les dépenses du budget de l’Etat se décomposent globalement en crédits de fonctionnement, d’intervention et d’investissement.

Les crédits de fonctionnement (sections 1, 2 et 3) se présentent de la manière suivante :

Les crédits inscrits à la section 1 représentent les dépenses de Souveraineté, les crédits de la section 2 correspondent à ceux des Assemblées et Corps Constitués (Conseil National, CCIN …), puis les crédits de la section 3 retracent l’ensemble des crédits de fonctionnement alloués aux services administratifs.

La section 4 du budget représente les dépenses communes à plusieurs services administratifs, permettant une attribution des crédits à plusieurs gestionnaires sur un même article budgétaire. Ces dépenses constituent souvent des dépenses d’entretien ou des dépenses régulières.

La section 5 du budget de l’Etat correspond aux dépenses des concessionnaires de l’Etat. Les dépenses occasionnées dans le cadre de la délégation de services publics sont également retracées au sein de cette section.

La section 6 regroupe l’ensemble des crédits alloués aux organismes ou entités subventionnées par l’Etat.

La section 7 comporte les crédits alloués aux investissements et travaux d’équipement de l’Etat. Au sein de cette section, se retrouvent les crédits liés aux opérations d’équipement pour le logement, la santé, les services publics, mais également ceux liés à l’acquisition de matériels ou de biens immobiliers.

De plus, parallèlement aux crédits annuels retracés dans les documents budgétaires, les Elus votent le programme triennal d’équipement public. Ce programme retrace une vision pluriannuelle des principales (ou plus importantes) dépenses qui composent la section 7 du budget de l’Etat. Tous les articles du programme triennal d’équipement public font partie de la section 7, l’inverse n’étant pas vrai. Le vote de ce plan permet au Gouvernement d’engager l’Etat au travers de contrat s’exécutant sur plusieurs exercices budgétaires. Cet engagement pluriannuel des dépenses d’investissement se fait par le biais des autorisations d’engagement.

Enfin, toujours au titre du budget de l’Etat, il existe des comptes annexes, appelés Comptes Spéciaux du Trésor, qui possèdent un caractère temporel limité. Ces comptes permettent de comptabiliser des recettes et dépenses au sein du même article.

La préparation du vote d’une loi de budget et le suivi de son exécution

La préparation du vote d’une loi de budget et le suivi de son exécution

Le calendrier budgétaire est prévu et organisé en début d’année civile en en concertation entre le Conseil National et le Gouvernement.  Les principales périodes sont :

– Avril-Juin : examen de la clôture des comptes de l’exercice précédent

– 1er juillet : dépôt du projet de loi de Budget Rectificatif

– Octobre : examen et vote du Budget Rectificatif

– 1er novembre : dépôt du projet de loi de Budget Primitif

– Novembre-décembre : examen et vote du Budget Primitif

Après chaque dépôt de projet de loi de budget, une liste de questions est élaborée par la Commission des Finances et de l’Economie Nationale. Cette liste est le document servant de base aux échanges lors des Commissions Plénières d’Etude (dites « Séances privées ») entre les membres du Gouvernement et les Conseillers Nationaux.

A l’issue de ces échanges, un rapport est établi par cette même Commission et lu en Séance Publique par le Rapporteur de la loi de budget.

Les grands principes de la gestion budgétaire publique

Les grands principes de la gestion budgétaire publique

Conformément à la Constitution, le budget de l’Etat traduit la situation économique et financière de la Principauté. L’exposé de la Loi de budget définit la politique générale du Gouvernement, ses objectifs et ses perspectives pour l’année à venir.

La Loi n°841 du 1er mars 1968 modifiée représente la base juridique sur laquelle toutes les lois de Budget s’appuient. La loi de budget prévoit et autorise pour chaque année civile, l’ensemble des recettes et des dépenses de l’État en déterminant leur nature, leur montant et, en ce qui concerne les dépenses, leur affectation. L’adjonction en annexe de cette Loi de Budget d’un programme triennal d’équipement permet une vision pluriannuelle de la politique d’équipement et d’investissement de la Principauté.

Les principes essentiels de l’annualité, de la spécialité, de l’universalité et de l’unité budgétaire sont appliqués, comme c’est le cas pour toute comptabilité publique.

L’annualité est un principe qui signifie que le budget de l’Etat doit être voté chaque année. L’exercice budgétaire coïncide avec l’année civile pour ce qui concerne l’encaissement des recettes et l’engagement des dépenses. Puis, une période complémentaire de 2 mois (janvier et février) permet de procéder, au début de l’exercice suivant, au règlement de certaines opérations effectuées dans le cadre de l’engagement des crédits de la fin d’année précédente. L’exécution du Budget de l’Etat se déroule donc sur 14 mois.

Le principe de spécialité impose d’indiquer précisément le montant et la nature des opérations prévues par la loi de budget dans le respect de la nomenclature budgétaire. Tous les crédits sont rattachés par chapitre avec une destination spécifique qui doit être respectée au cours de l’exécution.

L’universalité est le principe selon lequel l’ensemble des recettes couvre l’ensemble des dépenses. Deux règles garantissent cette universalité. Tout d’abord, la règle de non-compensation (ou non contraction) qui interdit de déduire de certaines dépenses, certaines recettes (exemple : reprise de l’ancien véhicule venant déduire le coût d’achat d’une nouvelle voiture). Puis, la règle de non –affectation qui interdit l’affectation d’une recette à une dépense déterminée.

Enfin le principe de l’unité du budget consiste à considérer les crédits du budget de l’Etat comme une unité. Il convient donc que le budget de l’Etat soit retracé dans un document unique permettant d’assurer une bonne lisibilité.

Mise à l’honneur des nouvelles générations de Policiers 🇮🇩

Mise à l’honneur des nouvelles générations de Policiers 🇮🇩

[Une Sûreté Publique modèle]
Le Conseil National met à l’honneur la nouvelle génération de Policiers au sein de son hémicycle👮🏻‍♀‍👮🏻‍♂‍🇮🇩

La 35e promotion d’Élèves-Lieutenants et la 50e promotion d’Élèves-Agents de police ont été reçues dans le grand hémicycle de l’Assemblée, vendredi 24 janvier.

Accueillis par le Président Stéphane Valeri, la Vice-Présidente Brigitte Boccone-Pagès, Christophe Robino, Président de la CISAD, Thomas Brezzo, Président de la Commission Législation, et Franck Lobono, Président de la Commission Logement, les 29 élèves ont été félicités pour leur parcours au sein de l’École de police de la Sûreté Publique.

A cette occasion et en présence de cadres, dont Richard Marangoni, directeur de la Sûreté Publique de Monaco, du Directeur Adjoint, Régis Bastide et du Capitaine Fréderic Aznar, responsable de leur formation, le Président Valeri a tenu à saluer les membres de cette nouvelle génération qui intègrent, a-t-il souligné « l’une des meilleures polices du monde, qui incarne la mission inestimable de la Sûreté Publique. Elle est l’un des piliers de notre modèle, assure la tranquillité de chacun et incarne l’image de sécurité attachée à Monaco dans un monde incertain. Dans notre dialogue permanent avec le Gouvernement, soyez assurés que nous le soutenons dès que nécessaire pour que vos moyens humains et techniques soient à la hauteur de vos multiples missions, essentielles pour le pays. »

Pour illustrer la qualité de ce dialogue, Stéphane Valeri a insisté sur « le déploiement dès le 3 février de la nouvelle « Unité de Préservation du cadre de vie », qui assurera, entre autres, les missions de régulation du trafic et de lutte contre les véhicules trop bruyants qui perturbent la tranquillité de la population. « 

Après une présentation du rôle du Conseil National au sein des institutions, les élus ont répondu aux questions des membres de la Sûreté Publique, avant un moment informel et convivial d’échange.